22.12.05

Le temps detruit tout - [clic]

......Parce que le temps detruit tout.
......Parce ce que certains actes sont irreparables.
............................. Parce que l'homme est un animal.
Parce que le desir de vengeance est une pulsion naturelle.
....................Parce ce que la plupart des crimes restent impunis.
............Parce ce que la perte de l'autre aimer detruit comme la foudre.
...................................Parce ce que l'amour est source de vie.
........... Parce ce que dans un monde bien fait le tunnel rouge n`existerait pas.
.................. Parce ce que les premonitions ne changent pas le cours des choses.
...........................................................Parce ce que le temps révèle tout.
...............................................................................................Le pire et le meilleur.


Irreversible > Porque el tiempo lo destruye todo > Porque algunos actos son irreparables > Porque el hombre es un animal > Porque el deseo de venganza es un impulso natural > Porque la mayorí­a de los crí­menes quedan sin castigo> Porque la pérdida del amado destruye como un rayo > Porque el amor es el origen de la vida > Porque toda la historia se escribe con esperma y sangre > Porque en un mundo bueno el túnel rojo no existirí­a > Porque las premoniciones no modifican el curso de los acontecimientos > Porque el tiempo lo revela todo > Lo mejor y lo peor.

2 comentarios:

rickalgo dijo...

No sabes cuánto significa en mi historia reciente esta película, porque está asociada a un cambio radical en mi vida. Esto más allá de la fuerte impresión que me provocó verla.
Fue curioso encontrarme con tu artículo porque justamente anoche la estaban dando en la tele y la estuve mirando un rato, evocando momentos complicados de la vida.
Tu parle français? Au moins j'ai l'impression que tu parles un tout petit peu.
Moi, je peux difficilmente écrire ces phrases. Je l'ai perdu, j'ai l'oublié.
Au revoir

Astrodog dijo...

Il faut être toujours ivre. Tout est là : c'est l'unique question. Pour ne pas sentir l'horrible fardeau du temps qui brise vos épaules et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans trêve. Mais de quoi? De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. Mais enivrez - vous. Et si quelquefois, sur les marches d'un palais, sur l'herbe verte d'un fossé, dans la solitude morne de votre chambre, vous vous réveillez, l'ivresse déjà diminuée ou disparue, demandez au vent, à la vague, à l'étoile, à l'oiseau, à l'horloge, à tout ce qui fuit, à tout ce qui gémit, à tout ce qui roule, à tout ce qui chante, à tout ce qui parle, demandez quelle heure il est ; et le vent, la vague, l'étoile, l'oiseau, l'horloge, vous répondront : "Il est l'eure de s'enivrer ! Pour n'être pas les esclaves martyrisés du temps, enivrez-vous sans cesse ! De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise.